Le blog des amis des bibliothèques de Tellin et Wellin
La dialectique de l’auteur.
« Le tombeau de la foi » n’est pas une autobiographie de l’auteur, mais une observation constante de l’homme où se jouent le rire et la tristesse de notre humanité.
Ce sont des annotations griffonnées le soir au coucher.
Observations et mœurs des plus légères allant vers l’absence des couples, leur dislocation et l’abandon de leur foyer pour et par la recherche des plaisirs du sexe.
Mon écrit est l’expression de la vie, de la société, de l’éducation, de l’amour et du mariage. La pratique de la morale et de la religion, des théories qui ne sont pas forcément les miennes.
Philosophie du dégrossissement de la vie publique.
Hostilités, perfidies, humeurs intimes des événements de la vie sentimentale.
Je n’expose nullement la nudité de mon âme, mais j’utilise ce que j’observe et je m’adonne librement à la création fantaisiste.
La recherche du moi à travers moi est une quête sur mes pensées, ma réaction vis-à-vis du monde actuel. Un monde que moralement je désapprouve, dans sa sexualité à mes yeux plus bestiale qu’humaine.
Concernant l’ouvrage :
A prendre avec beaucoup d’euphémisme.
C’est par moments mon emportement euphorique.
Je tiens à estomaquer par l’agréable ou le désagréable, stupéfier souvent.
C’est mon panthéisme, système religieux et philosophique.
J’estime que mon écrit est un stimulant à faible dose.
Peut-être que pour certains je serais un homme faquin.
Mais j’avoue humblement que je suis personnellement assez fier de mes tirades satyriques et saugrenues.
J’y parle également su saphisme.
Prenons le finalement avec le sarcasme cru que j’y développe; éreintez mon ouvrage, prenez le pour une pochade, qu’importe, c’est ma version d’indignation où j’appelle un cul un cul.
Par mon écrit, je ne me considère pas être sous l’ire de dieu. Et je garde ma quintessence dans mon recueil. Qu’importe les quolibets. Ce sera le premier et certainement le dernier de ce style.
Je constate un grand intérêt pour mon ouvrage par une très jeune génération.
Pierre Vanhemelen, le 13 juin 2008.
« Son physique était des plus agréables, son crâne était garni de deux, trois petites îles flottantes de cheveux séchés, parsemées d’une prolifération de plaies, boules et pustules qui lui donnaient l’apparence d’un crapaud. Ses mains lourdes étaient comme des bêches quand il creusait la terre, pour y chercher ce dont sa nature avait besoin : de racines ou de plantes ! »
Dans ce nouveau recueil, l’œuvre imagée et imaginaire trouve son inspiration dans le particularisme historique et l’environnement de l’auteur.