Un vendredi comme les autres à la bibliothèque de Wellin avec, dans un chaos indescriptible, un marché du livre en gestation (ceux de Noel exceptés), une artiste-concierge, un échevin, une auteuSe sans lunettes, Alicia et François, des restes de bibliothécaires des deux sexes, Bernard, des naturalistes de la Haute-Lesse perdus dans cette flore administrative, une conteuse avec enfants qui vont avec, et au milieu de cette bibliothèque en déroute, le chien d’Edmond me cite à bon escient et en aparté une phrase de Diogène «Retranche tous ces engagements que tu voyais s’imposer à toi et qui sont autant de bagages qui t’entraînent au fond de la mer».
Quand au 27 septembre, on en délibère encore …
Etonnant, non ?